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La Terre brûle...
Elle ne brûle pas pour rien, elle brûle par le feu Divin.
Elle brûle du feu de son coeur.
Elle brûle de son feu purificateur.
Elle brûle d'une puissance que l'on ne pourrait imaginer.
Vacuité, ce mot m'est revenu en boucle ce midi lors d'une méditation.
Lorsque mon esprit s'est posé sur le sens de ce mot je fus alors projeté dans cet état de conscience de vacuité.
Un jour pour moi sur Terre - mon chemin entre ombre et lumière
Aujourd'hui, là, ici, dans l'instant présent, je souhaite me poser, me déposer dans la vibration de mon coeur.
Un équilibre que je fais en moi, que je ressens comme un évidence, un besoin même.
Après des jours et des jours passés dans les immondices de la Terre de cette société de perversion, après des jours à explorer la noirceur dans tous ses aspects afin de la transmuter, je me dépose ici et maintenant dans la vibration de l'amour.
L'alchimie du Féminin et du Masculin
Quelque chose est en train d'éclore peu à peu,
Prêt à briller de mille feu.
A la fois Féminin,
A la fois Masculin,
Tout ce qui était alors figé,
Va soudain s'animer et se réveiller.
La vie est en train de renaître,
Dans La Terre
un nouveau monde est en train d'éclore
Quelque chose est en train d'éclore peu à peu,
Prêt à briller de mille feu.
A la fois Féminin,
A la fois Masculin,
Tout ce qui était alors figé,
Va soudain s'animer et se réveiller.
la Mère Primordiale manifestée
Elle posa les mains sur son ventre arrondi, puis sourit.
Un élan d’amour infini s’empara d’elle.
Elle lui transmit alors tout cet amour dans de longues caresses apaisantes.
C’est alors, qu’elle sentit la terre frémir sous ses doigts.
Une douce chaleur vint l’irradier de l’intérieur.
La Terre reconnaissait cet amour maternel, fort et puissant.
Quelque part sur terre,
Elle marche.
Seule et anonyme.
les enfants de lumière et la nature
Lorsque j'étais petite fille, j'aimais beaucoup me balader en forêt. Je choisissais un arbre ou plutôt je sentais que l'un d'eux m'appeler. Je me collais alors contre lui de mes petits bras d'enfant, je l’entourais puis je plaçais mon oreille contre lui. Je disais que j'écoutais son coeur battre, je le comparais au rythme de mon propre coeur. Je me sentais en total harmonie avec lui. Je sentais le flux de sa sève monter et descendre.
Ce matin, lors de mon instant de communion avec la nature, celle-ci m'a soufflée à l'oreille :
"La mort est le plus grand lâcher-prise sur la vie"
Une belle phrase à méditer.
Date de dernière mise à jour : 26/03/2025